Elle est née dans une grande campagne, au Montana. Une belle maison, un beau jardin, un frère premiers dans chaque matières, un père militaires au service de sa patrie, une mère toujours présente pour eux,.. Voilà le portrait de sa belle famille, pourtant il semble qu’ils n’y ajoutent jamais Nina.  Elle aimerais arrachée cette toile de ce tableau pour dévoiler sa vraie nature, peut être aurais t’elle pu  se sauver ?
Dès petite elle n’a jamais vraiment su rentrer dans le moule de la société, accepter une hiérarchie, ou suivre le mouvement de tous ces automates qui avaient des raisonnements semblables. Elle ne comprenait pas pourquoi personnes ne réagissaient ou ne pensaient comme elle, ça lui semblait une évidence, pourtant tout le monde la regardait étrangement. Quand son père et ça mère remarquaient qu’elle n’invitait jamais beaucoup d‘amies à ses goûter d’anniversaires, ou qu’elle ne jouait avec aucun enfants aux fêtes de quartiers, ou encore que les autres parents ne cessaient de la critiquer, ils commencèrent à l’écarter du cadre familial.
Ils voulaient une petite fille, pas un monstre. Pourtant Nina trouvait cette terre déjà ennuyeuse, sans grands intérêts, alors elle trouvait des moyens de s’échapper, de s’évader, elle rêvait, la plus part du temps avec ce troupeau de chevaux demie sauvage derrières leurs propriétés, un peu plus loin dans la montagne.
Elles les trouvaient plus intelligents et plus vrais que les humains. Chacun d‘entre eux étaient différents, et ils l’acceptaient.
Elle grandit, un peu trop vite, aux alentours de ces 10 ans rien n’avait réellement changé, elle avait apprise à faire avec. Une petite casse-cou ne revenant jamais sans blessures, ne vivant que par les grands frissons. Mais quand elle revenait parmi la population, son visage se refermait, et elle tombait dans un mutisme profond quand il s’agissait de parler de sa vie.
Nina devait se taire, ne pas parler de sa famille, de son père et sa mère qui mettait une pression insoutenable à son grand frère, ne pas crier de douleurs lorsqu’on la frappait, ne pas pleurer lorsqu’on la laisser dehors, ne pas réfléchir lorsqu’on l’envoyait dans des camps « militaires » pour jeunes.
Elles s’en rappelle encore, elle n’avait rien de fait mal, ni voles, ni agressions, mais parfois on l’y emmenée, la forçant à un régime stricte, des taches durs, des entrainements jusqu'à ce que la fatigue les achèvent, leurs apprenant à vivre seul dans la nature, à escalader, à se battre, à viser, à « rentrer dans le droit chemins », mais l’avait t’elle quittée ? Son père lui répété que « c’est ce qu’il vivait chaque jours » et que ça lui apprendrait la vie. Elle le trouvait si misérable.
Plus grande son caractère s’affirma. Sa mère approuvait avec un certains contrecœur la méthode qu’avait mit en place son mari pour endurcir sa fille, l’insulter, la frapper, la détestée.
Nina s’en moquait, elle vivait la même chose partout, peut être était ce normal ? Elle c’est toujours dit qu’elle le méritait.
Aujourd’hui ce n’est plus qu’un bout de chair humaine vide d’émotions, les refoulant pour ne plus ressentir de manques, défensive à la moindre attaque qu’elle juge personnel. Une personne aussi froide qu’on le lui avait appris. Le visage dur et la tête haute. Ignorant la douleur. Pourtant elle est toujours là, elle à toujours était là, parfois elle devient tellement présente que son impulsivité prend le dessus, elle deviens agressive, essayant pourtant de se contrôler, elle crie intérieurement d’arrêter, mais cette deuxième personne en elle ne peut s’empêcher de se défouler, et alors il lui arrive de se couper, ou de se fatiguer à user son poing sur une porte.
Pourtant c’est une personne si brave, si loyal, si franche, si modeste et surtout généreuse et altruiste. Mais on l’a éduquée autrement, comme un chien que l’on éduque pour le combat. À la place ils ont réveiller son audace, et mit son courage à mauvais profit, secouant son impulsivité et sa rage. Il n’y a alors qu’auprès des chevaux qu’elle se retrouve seul, et en étant sois. Il n’y avait qu’auprès d’eux que son besoin d’introversion ou de solitude s’échappe, il n’y a qu’avec eux qu’elle se sent comblée affectivement. Mais elle n’aime pas être entourée pendants ces moments, elle n’aime pas qu’on la voie sourire, sauf si celui ci est sarcastique ou défieur, elle n’aime pas que l’on voie ses yeux briller d’espoirs, être sans protection. Mais elle n’est pas bête, même si elle perd son contrôle, elle est capable de beaucoup de choses. De voir chaque détails, de les retenir, de comprendre et d’analyser chaque situations pour tirer des conclusions à chaque instants, intuitivement ou non. Elle est libre, indépendante, et elle se l’avoue, c’est une rebelle, que peut t’on devenir d’autre quand on essai de s’adapter à un système inadapté, et que l’on nous rejette ? Il lui arrive d’être insolente, d’aimer provoquer les « manipulateurs »  par des allusions, mais toujours pour de justes causes, du moins elle l’espère. Qu’elle sois folle ou génie, elle s’en moque, c’est la même chose, ce qui importe c’est que jamais elle n’éprouve cette sensation de manquer de liberté.
Ses parents voulaient la laisser en pensionnat, alors autant qu’elle vienne ici, auprès des chevaux, mais elle est loin d’être inconsciente, on ne la manipulera pas, ni on ne la privera de sa liberté.
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