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 Key ✗ On la vénère parce qu'elle est unique, on la craint parce qu'elle n'a pas de limites.

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AuteurMessage
Début de la thérapie : 23/06/2013
Lettres postées : 480
Double vie : Nop
Je ressemble a : Barbara Plavin
Kélya E. Blackwood
Kélya E. Blackwood
Première année
MessageSujet: Key ✗ On la vénère parce qu'elle est unique, on la craint parce qu'elle n'a pas de limites.   Key ✗ On la vénère parce qu'elle est unique, on la craint parce qu'elle n'a pas de limites. EmptyJeu 03 Avr 2014, 13:54

Kélya Eden Blackwood

Nom:
Blackwood
Prénom:
Kélya, Eden
Surnom:
Key, K.
Statut:
Elève
Classe sociale:
Riche, mais n'en profite pas.
Orientation sexuelle:
Bisexuelle


Âge:
21 ans
Date de naissance:
20.05.1993
Lieux de naissance:
Los Angeles, Etats-Unis
Nationalité:
Américaine
Particularités:
eux gris foncés presques noirs (*) divers tatouages et cicatrices


Caractère
Kélya a pas un caractère très facile. C'est le genre de filles souvent ma lunées et par conséquent désagréable avec les autres. Elle va vous en mettre pleine la geule sous prétexte qu'elle a mal dormit. Cherchez pas, c'est une égoïste pure et dure. Elle ne fait jamais attention aux autres, c'est pour sa geule et c'est tout. Manipulatrice, égocentrique et vicieuse, on ne sait pas trop à quoi s'attendre avec elle. Il faut quand même rester assez méfiant avec elle, parce qu'elle est capable de tout. Elle n'a aucune limite, aucune attache, rien n'a d'importance à ces yeux. Mais il arrive aussi des fois où la jolie brune est de bonne humeur. Assez rare, sachez en profitez. Elle se révélera sociable et assez bavarde. Kélya est franche et n'a aucun tact, elle dit les choses comme elle le pense sans prendre de gants tant pis si ça vous plaît pas. C'est aussi une fille forte et indépendante, qui a une parfaite maîtrise des ces émotions et aucun respect pour les autres. A moins que vous le gagnez, ce qui est pas facile. C'est pas une fille foncièrement mauvaise, elle n'a pas été épargnée par la vie c'est tout et elle se protège comme elle peut.
Physique
Belle brune aux yeux orageux, Kélya a un certain charisme. Assez grande pour son âge et avec de belles formes, elle n'a rien à envier aux autres femmes et elle sait se mettre en valeur, elle a conscience de son corps et elle ne se gêne pas pour le mettre en avant. On passera d'ailleurs sur le fait qu'elle s'habille le plus souvent comme une prostituée. Un visage aux traits souvent dure, parfaitement mis en valeur avec du maquillage bien ajusté, souvent en noir. Elle déteste les couleurs vives. Elle a souvent les cheveux détachés, avec un léger volume bouclé, elle ne perd pas de temps à les lisser ou à les boucler totalement. C’est pas pour dire qu’elle n’est pas féminine, loin de là, c’est une fille très coquette. Elle a toujours une jolie manucure, des ongles parfaitement limé et des couleurs assortis. Un corps svelte et élancé, des muscles partout et une excellente condition physique.

Discipline favorite:
Western
Race(s) préférée(s):
Paint Horse, Quarter Horse, chevaux américains
Niveau d'équitation:
Débutante
Avis sur l'équitation:
Un sport comme un autre
Raison de la présence à NSS:
Placement du juge, sortie de prison
Aspiration:
Compétition
Sexe:
Jument
Race:
Américaine
Robe:
Pie
Caractère:
Pétillante, vive, généreuse

Pseudo:
Lou
Âge:
18 ans 8)
Niveau de RP:
Exceptionnelle Moyen je dirais
Comment as-tu connu le forum ?
Un petit mouton m'a filé l'adresse sur Chatroulette  mouton 
Qu'en pense tu ?
Topissime
Règlement lu ?
Ouaiiis :D
Quel est le type de ton personnage ?
Inventé
Autre chose à dire ?
Noooon
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Début de la thérapie : 23/06/2013
Lettres postées : 480
Double vie : Nop
Je ressemble a : Barbara Plavin
Kélya E. Blackwood
Kélya E. Blackwood
Première année
MessageSujet: Re: Key ✗ On la vénère parce qu'elle est unique, on la craint parce qu'elle n'a pas de limites.   Key ✗ On la vénère parce qu'elle est unique, on la craint parce qu'elle n'a pas de limites. EmptyJeu 03 Avr 2014, 13:54

Histoire
Chère journal,
Il faut que je t’explique ma journée. Tu sais, aujourd’hui c’est mon anniversaire. Aujourd’hui, j’ai huit ans. Et tu sais, je te l’avais expliqué, Maman avait promis de m’emmener au cinéma voir ce conte de fée avec cette princesse aux longs cheveux blond. Toutes mes copines avaient été le voir sauf moi… Maman me disait que c’était de l’argent jeté par la fenêtre, mais que pour mon anniversaire, elle allait m’y emmener. J’étais tellement contente de pouvoir enfin aller le voir ! Tu sais, Maman est pas toujours gentille avec moi, par moment elle devient même méchante. Mais c’est ma Maman, je l’aime et je sais que elle, elle m’aime aussi. Et j’avais tellement envie de passer un peu de temps avec elle, seule à seule, entre filles. J’avais envie de la voir sourire une fois, qu’elle soit heureuse. Mais elle a oublié. Maman m’a dit qu’elle n’avait pas le temps pour ça aujourd’hui, que c’était pas grave, c’est qu’un film après tout. Elle avait ce petit sourire à l’envers, ce regard vide. Elle m’expliquait toujours que ces injections qu’elle se faisait dans les bras, c’était des vitamines, pour qu’elle ait mieux. Mais alors, pourquoi est-ce qu’elle a l’air toujours ailleurs après, dans un état second ? C’est dans ces moment-là qu’elle me fait peur. C’est dans ces moment-là que je m’enferme dans ma chambre, j’ai peur qu’elle s’énerve contre moi. Je me cache dans mon armoire, dans le noir je laisse couleur mes larmes, silencieusement pour pas l’énerver encore plus. Comme maintenant. J’attendais tellement de cette journée, tout est gâché, à cause de moi.
Eden, 9 ans.

Chère journal,
Maman ne va toujours pas mieux. Je t’avais expliqué qu’elle prenait des vitamines, maintenant elle a perdu son travail. Elle m’a expliquée qu’elle était malade, que ces vitamines l’aidaient à tenir le coût, et que je devais arrêter de faire des caprices, comme pour mon anniversaire. Alors elle passe ces journées à la maison, je sais pas ce qu’il y a, je m’inquiète. Elle est pâle, des marques partout sur les bras et le soir quand je rentre de l’école, souvent elle titube et a du mal à parler correctement. Avant, j’avais peur, peur qu’elle meure, qu’elle s’énerve contre moi. Maintenant ces mots ne m’atteignent plus. Maintenant Papa s’y met aussi. Il a aussi perdu son travail, la famille a des problèmes d’argent comme j’ai compris. Je dois arrêter de toujours vouloir des nouvelles choses, je dois faire attention à ce que je mets pour pas user mes jean’s trop vite. Je crois aussi que Maman a recommencé à sortir tard le soir au bistrot. Elle passe beaucoup de temps derrière ces machines où il faut mettre des jetons pour gagner de l’argent. Tous les soirs, ils s’engeulent. J’entends Papa lever la voix sur Maman, elle qui crie en réponse. Les assiettes qui volent, les claques qui fusent. Des deux côtés, la violence a remplacé les mots. Papa est toujours de mauvaise humeur maintenant, toute la journée il s’énerve contre Maman et même contre Moi. Le soir quand je rentre, j’ai peur des coups. J’ai peur qu’il me roue de coups, j’ai peur que je ne puisse me relever. Maman arrête pas de dire que je suis mauvaise, égoïste, parce que je pense jamais à elle. Parce que c’est de ma faute s’il s’énerve et que tous les deux ont se prend des coups dans le ventre.
Eden, 9 ans.

Chère journal,
Aujourd’hui Papa a décidé que j’allais arrêter l’école. Il dit que de toute façon je suis nul, que j’y arriverais à rien. Je crois surtout qu’il a peur que mon professeur se rende compte qu’il me bat. J’ai des bleus partout, il fait 30° à l’ombre, et je suis obligée de porter des jean’s pour pas qu’on remarque les bleus sur mes jambes. J’ai peur de ce qu’il va se passer. Maintenant que je dois rester à la maison, il va être pire qu’avant. Hier soir, il m’a donné une claque. J’ai oublié de mettre des glaçons dans son whisky. J’ai pas voulu l’énerver, je fais tous pour lui faire plaisir, j’essaie d’être génial mais lui il comprend pas. Ils ne comprennent pas, ils n’arrivent pas à voir qu’au fond je suis malheureuse et que je peux pas mieux faire que maintenant. D’après eux je suis mauvaise, méchante, c’est peux-être vrai. Je sais pas. Je sais pas qui est le Méchant et qui est le Gentil. Hier soir, après qu’il m’ait donné une claque, il m’a allongé sur le dos. Il a commencé à me déshabiller. Je sentais son souffle chaud dans mon cours. Ça sentait le whisky, comme les médicaments de Maman, je sentais ces mains partout sur mon corps. Je sentais… c’est horrible, je peux pas le décrire. C’est tellement horrible, ça faisait tellement mal. J’ai tellement peur qu’il recommence. Aide-moi.
Eden, 9 ans.

Chère journal,
Aujourd’hui il s’est passé quelque chose d’inhabituel. Des hommes en uniforme bleu ont débarqués à la maison. Il y avait une femme d’une trentaine d’années, en tailleur plutôt chic. Ils ont commencés à menotter Papa, ils ont demandés à Maman d’aller me chercher. Ils avaient des armes, des menottes, une plaque de la police ici. Maman me disait que la police, c’était la pire des choses. La gentille dame m’a mené à part, elle m’a posé des questions sur ce qu’il se passait à la maison. Elle a vu mes marques, mon arcade qui avait explosée. Elle a vu à quel point j’étais mal. Un fétu de paille brisé par la Vie, par la Vie. Elle m’a emmenée avec elle. J’ai vu Papa qui m’a regardé à travers la vitre de la voiture, son regard m’a fait froid dans le dos. Il était froid, colérique, tellement violent que j’avais l’impression de me faire rouer de coups sur place. J’ai fondus en larme, pour la première fois depuis longtemps, j’ai laissé ces perles salées coulées de long de mes joues. Cette femme m’a dit que j’allais être placée ailleurs, chez des gens bien qui allaient prendre soin de moi. Une famille aimante et qui allait bien s’occuper de moi. Je croyais tellement en ces promesses, j’y mettais tellement d’espoir dedans.
Eden, 10 ans.

Chère journal,
Ça fait deux mois que je suis placé dans cet institut. Les promesses, c’est que du vent, c’est que des mensonges. J’y crois plus. Je crois plus en rien. Je l’attends toujours cette famille aimante et ces parents heureux. J’attends toujours cette belle vie qu’on m’avait promise. Ici je suis la petite nouvelle, celle qu’il faut mettre au pas. Il y a des personnes de tout âge, des adultes aussi qui doivent s’occuper de nous. Mais ils sont là que quand ça les arrange. Ils sont jamais là quand on se fait coincer dans le couloir. J’en ai marre de me prendre des coups parce que je suis nouvelle. Parce qu’il faut me dresser comme ils disent. Leurs coups, c’est rien comparé à ceux de Papa, c’est rien comparé à ce qu’il me faisait… Je ne pleure pas, les coups s’abattent mais rien ne se passe, je suis qu’une poupée vide, vide de sens et d’envie. Il n’y a plus rien dans mes yeux, que deux pierres vident. Aucune âme qui n’anime mon corps.
Eden, 10 ans.


Chère journal,
J’ai une bonne nouvelle ! Ça fait longtemps que j’ai plus écrit dans ce journal ! J’ai grandi, j’ai évolué. Et tu sais, hier soir j’étais derrière le pensionnant avec les copains habituels. Il y a un garçon qui nous a abordés. Il ne me lâchait pas des yeux, il ne cessait de me fixer, tout mon corps. Mes jambes misent en valeurs par le mini short, les petits talons et mon décolleté rembourré. Il m’a proposé de faire un shooting photo. Il trouvait mes yeux magnifiques, il voulait que je fasse un essai de photo et qu’après je pourrais faire des défilés même ! J’ai rendez-vous demain avec lui pour cet essai. Je suis trop contente, j’ai une porte de sortie, une possibilité de m’évader. Je vais pas louper l’occasion. Et mannequin, c’est une vie rêvée non ? Vous trouvez pas ? Je vais gagner un max de cash et je pourrais faire le tour du monde. Je vais me battre pour y arriver, pour atteindre mon rêve. Je vais y arriver.
Eden, 13 ans

Chère journal,
Dis donc ça faisait un moment ! En fouillant dans mes affaires, j’ai retrouvé ce journal. J’ai relu le dernier passage aussi. Si j’étais capable de pleurer, les larmes me seraient monter aux yeux. Tu te rappelles, ma fabuleuse carrière dans le mannequinat ? Oui. Passé à la trappe. Je me suis faite avoir, je me suis laissée aller pour de l’argent facile, je mis un doigt dans l’engrenage et maintenant je suis prise au piège, j’ai plus d’autre possibilité. J’ai quitté l’orphelinat pour suivre ce monsieur. Quelques mois après à peine, je me retrouvais sur une scène à exhiber mon corps pour kedalle. Et oui, je passe mes journées à faire la pute pour survivre. Je peux pas m’enfuir, ils me tiennent, ils sont trop puissant pour que j’arrive à m’enfuir. Je suis incapable de pleurer, je ressens plus rien, aucune émotion n’anime mon visage. Un corps vide que je te dis. Mon âme est morte il y a bien longtemps, mais mon corps continue de vivre.
Eden, 15 ans.

Chère journal,
Je viens de retrouver ce vieux journal dans mes anciennes affaires. Cette couverture déchirée, ces pages marquées par les larmes. Que j’étais faible. J’ai honte. La Vie peut changer en une fraction de seconde. C’est ce qu’il s’est passé pour moi. J’ai rencontré un jeune homme, Enzo, qui avait besoin d’aide. Il devait exécuter mon mac et ces acolytes. Il avait besoin de quelqu’un qui pouvait le faire entrer dans la boîte. J’ai accepté de l’aider contre ma liberté. Il a foutu le feu à la boîte et a descendu tous les acolytes de mon mac. Il m’avait donné une arme à feux au cas où. Je la tenais fermement entre les deux mains, j’avais le canon pointé sur le front de mon mac. Je n’ai pas hésité une seconde, j’avais visé la jambe, pour le faire souffrir un peu. Pour qu’il souffre autant que moi j’avais pu souffrir. Je passais toute ma haine sur lui, mon canon était remonté le long de son corps. Je l’ai abandonné là, à la merci des flammes, encore vivant, aux portes de la Mort. Mon premier meurtre, mon premier choix dans la Vie… Premier pas vers l’Enfer ?

Toujours est-il que ma vie a bien changée. Enzo m’a emmené avec lui. Il a un gang, enfin un truc du genre. Il vend de la drogue et prend des contrats comme tueur à gage. C’est un grand mot, il appuie sur la détente, c’est tout. Ce soir-là, une nouvelle Kélya est née sous le coup des armes à feux. Fini cette fille faible et miséreuse. Maintenant je ne me laisse plus marcher sur les pieds. C’est fini que je me fasse avoir de la sorte. Maintenant je suis cette fille forte et inébranlable qu’on respecte. Je travaille avec Enzo, je vends de la drogue, j’appuie sur la détente. Je suis payée pour ça et j’aime ça. L’argent facile, une vie facile et cool. Je fais ce que je veux, comme je veux, je suis indépendante et je gère ma vie. J’ai la belle vie. Et ouais, si ça t’intéresse ça me dérange pas de tuer des gens. Je fais qu’appuyer sur un bouton, comme un appel un ascenseur.
Kélya , 16 ans.

Chère journal,
C’est la merde aujourd’hui. J’avais un rendez-vous avec un fournisseur, un truc facile, vérifier la marchandise et payer. J’étais avec un de mes portes-flingues et on s’est fait avoir.  Ce connard de Jake qui a réussi à nous piéger. Ils n’étaient pas venus pour la drogue, ils étaient venus pour moi. Attraper la Bailarina. J’ai passé la nuit au poste et au final, j’ai été coffrée pour trafic drogue uniquement. Heureusement, sinon je passais sur la chaise en fin de semaine vu le casier plus que rempli de la Bailarina. Les juges ont décidés que je devais travailler trois jours par semaine dans un petit centre équestre qui accueillait des jeunes en difficultés. La blague, ça faisait bien longtemps que j’étais plus une gamine en difficulté. Alors je dois aller m’occuper de canasson pour éviter la prison.
Kélya, 19 ans.

Chère journal,
Aujourd’hui c’est fini. Je me suis faite choppée pour meurtre. Je devais simplement abattre un pauvre type, le genre chauve et bedonnant qui sert à rien. J’étais seul, normal je me démerde assez bien. Je l’ai suivi dans une petite ruelle genre film d’horreur. Il était à ma merci, je l’ai appelé. J’aime voir la flamme s’éteindre dans les yeux des gens. Il s’est retourné, il avait un grand sourire. Je me suis faite piégée. Je l’ai su à l’instant où il s’est retourné, au moment où il s’est retourné. J’avais mon arme braquée sur lui, je savais que j’étais prise au piège. J’ai pas hésité, j’ai appuyé sur la détente. Finie pour finie, autant le faire en beauté. J’écris depuis ma cellule. C'est fini, je pars en prison. J'ai peut-être une chance de m'en sortir: Les chevaux.
Kélya, 21 ans.
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